Sous 30 jours vous êtes tenus d'informer un notaire, la Sécurité Sociale, les caisses d’allocations, les autres organismes "payeurs".
L’acceptation peut être expresse (spécifiée par écrit au notaire) ou tacite (usage d’un bien du défunt – une voiture par exemple - qui permet d’assimiler l’héritier comme étant le propriétaire du bien).
On peut renoncer à une succession (pour échapper au règlement des dettes). Dans ce cas on renonce aussi bien aux actifs qu’aux passifs du défunt et une déclaration écrite auprès du Tribunal de Grande Instance est obligatoire. Toutefois, les frais d’obsèques restent à la charge des descendants.
Une personne est en droit de réserver sa réponse avant d’accepter ou de renoncer à une succession. Un délai de trois mois est en effet accordé afin de faire établir un inventaire des biens du défunt.
Celle-ci peut verser aux ayants-droit du défunt (épouse, enfants…), et sous les conditions suivantes : avoir une assurance vieillesse, et avoir souscrit à un capital-décès (indemnité qui permet de faire face aux frais immédiats entraînés par le décès).
Pour l'obtenir, il faut prouver que la personne décédée :
Le montant du capital-décès correspond aux 3 derniers salaires mensuels (montant soumis à la cotisation maladie) limités au plafond de la sécurité sociale.
Un conjoint isolé, âgé de moins de 55 ans et qui ne s’est pas remarié peut obtenir une aide financière durant trois mois, s’il ne dépasse pas un certain plafond de ressources.
Informer du décès les sociétés d’assurances (pour la voiture, le logement, un crédit en banque…) par l’envoi d’un certificat de décès afin de prévenir pour résilier les contrats.
Les prévenir également par l’envoi d’un certificat de décès afin de pourvoir procéder à la résiliation des contrats ou au changement de nom.
Les prévenir également par l’envoi d’un certificat de décès afin de pourvoir procéder à la résiliation des contrats ou au changement de nom.
Faire jouer les assurances décès des contrats de crédit.